mercredi 27 mars 2013

Atlas mondial du nucléaire, civil et militaire.

de Bruno Tertrais. Cartographie et infographie d'Alexandre Nicolas


Les préoccupations liées aux approvisionnements énergétiques et au réchauffement planétaire ont réveillé l’intérêt pour l’électricité d’origine nucléaire.

Aux États-Unis, en Europe, en Chine et en Inde, les programmes ont été relancés. 

Dans le même temps, sur le plan militaire, la stratégie de dissuasion nucléaire reste au cœur des politiques de sécurité des grandes puissances, dont la France.

 

L’Atlas mondial du nucléaire a pour but de familiariser un large public avec l’ensemble des problématiques liées à la technologie nucléaire, dans tous ses volets : applications civiles (production d’électricité, médecine, etc.) mais aussi usages militaires (propulsion navale, armes).

Sans complaisance mais sans catastrophisme, il répond de façon dépassionnée à des questions essentielles, dans un domaine encore trop souvent dominé par le secret et le manque de transparence. 
 

Qui fait quoi dans le nucléaire en France ? 

Un accident du type de Tchernobyl est-il possible en Europe ? 

Prend-on des risques en exportant des réacteurs nucléaires vers des pays du Moyen-Orient ? 

Pesant coûts, risques et avantages de cette technologie et de son utilisation, l’atlas montre pourquoi il est possible d’établir des barrières techniques et juridiques solides entre le nucléaire civil et le nucléaire militaire.

Enfin après l'accident de Fukushima au Japon, l'atlas du nucléaire est plus qu'indispensable en tant qu'outil de réflexion dans le cadre du débat, à nouveau relancé, pour ou contre le nucléaire comme source d'énergie.

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