Au royaume des musaraignes, un groupe de sujets s’amuse au jeu de la queue de lézard. Après la victoire revendiquée par le petit Algur, le grand Glifan se plaint : Algur lui a fait un croche-pied (ce qui est vrai !).
Avec une rhétorique implacable et culpabilisatrice, Algur lui prouve pourtant par A plus B que Glifan se trompe, et que ses accusations en disent long sur sa sale mentalité. Désarçonné, Glifan entre dès lors dans une dépression profonde, qui l’amène à consulter Muz, le psychiatre.
Après avoir écouté la problématique, Muz comprend qu’ils ont affaire à un manipulateur. Il s’en va aussitôt au palais de sa reine pour dénoncer ce problème grave : l’extrême toxicité des pervers narcissiques est capable de pervertir les relations dans toute la muzarinité.
Périfazo, le conseiller de la reine, s’érige aussitôt en protecteur de sa reine : pourquoi Muz cherche-t-il à inquiéter ainsi sa souveraine ?
Muz rassure tout le monde et explique que l’éducation ne peut jamais être considérée comme de la manipulation.
La connaissance étant même l’outil principal pour lutter contre la manipulation, Muz propose de donner des conférences publiques à tout le royaume pour décrypter toutes les formes de manipulation.
La reine lui donne carte blanche et elle invite même son fils et son conseiller à aller écouter Muz…
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