Il est né de la boue et du sang des tranchées de 14/18.
Dès son premier numéro, c'était déjà un vilain petit Canard, insolent, anticlérical et frondeur.
Cent ans qu'il a pris l'habitude de distribuer ses coups de bec dans le ventre replet des industriels et banquiers, des pousse-au-crime, des va-t-en-guerre et autres ganaches de tout poil...
Cent ans qu'il enquête dans le marigot des affairistes et des combinards de la politique.
Cent ans que le Canard sauvegarde sa liberté et brave la censure, sans publicité.
Un seul mot d'ordre : l'humour.